Comment Tisser Des Fils d'Or
9 trames ! comme si...
Ah, le Tissage des Fils d'Or… un vrai chef-d'œuvre cosmique, mais attendez, on parle quand même de 9 Trames spécifiques ! Vous imaginez ? Neuf ! Comme si une seule ne suffisait pas à nous donner un bon mal de tête ! On dirait une to-do list spirituelle interminable. Et à chaque fois, tu te dis : « C’est bon, j’ai maîtrisé la trame personnelle », et là, le cosmos te balance : « Oui, mais as-tu travaillé sur ta trame écologique ? » Ah ouais, d'accord… faut aussi que je sois en harmonie avec les arbres maintenant.
Commençons par la trame universelle. Ça, c’est quand tu te dis que tu es connecté à tout l’univers. Genre, tu regardes le ciel et tu te dis : « Moi aussi, je fais partie des étoiles ! » Très poétique, hein ? Sauf que la réalité, c’est plutôt : « Je fais partie de l’univers, mais pourquoi est-ce que l’univers ne répond pas quand je lui demande de l’aide pour payer mes factures ? »
Ensuite, t’as la trame personnelle. Ah, celle-là, c’est mon truc. C’est l’ego qui dit : « Comment est-ce que moi, je vais m’améliorer aujourd’hui ? » Tu t’achètes des livres, tu fais des méditations, et t’essayes de te convaincre que tu es une meilleure personne… jusqu’à ce que quelqu’un te coupe la route, et là, tu t’aperçois que ta trame personnelle, elle est encore pleine de nœuds !
Passons à la trame familiale. Ah, celle-là… C’est le moment où tu réalises que tisser des liens familiaux, c’est pas toujours une partie de plaisir. Essayer de bien tisser avec ta tante qui te demande chaque année si t’as enfin trouvé quelqu’un… C’est comme essayer de tricoter avec des aiguilles en caoutchouc. Et puis, y a toujours ce fameux repas de famille où tu te rends compte que la trame est pleine de trous… mais tu fais semblant que tout va bien. Parce que bon, tu sais bien que si tu tires trop fort sur ce fil-là, c’est tout l’arbre généalogique qui risque de se casser la figure.
Et la trame relationnelle, parlons-en ! Genre, tu veux être en harmonie avec tous ceux qui t’entourent. C’est cool en théorie, sauf quand tu réalises que certains de tes amis ont décidé de tisser avec du fil barbelé. Ils te piquent à chaque conversation, mais toi, tu continues à tisser avec le sourire en disant : « Mais oui, je t’aime bien quand même ! »
La trame professionnelle, elle, c’est la trame où tu dois tisser des liens au boulot. Mais sérieusement, t’as déjà essayé de tisser quoi que ce soit avec ton patron ? Surtout quand il te file des deadlines impossibles ? Genre, tu tisses tranquille et il arrive avec un gros ciseau en te disant : « On va raccourcir ça un peu, non ? » Et toi, tu souris, mais intérieurement, tu rêves de tisser une évasion vers les îles.
Ensuite, la trame spirituelle. Ah, celle-là, c’est le terrain des grands mystiques. C’est toi, tes chakras, et l’univers. Mais des fois, t’as juste envie de dire : « Bon, aujourd’hui, j’ai pas le temps pour la pleine conscience, j’ai une pizza à commander. » Parce que oui, la spiritualité, c’est beau, mais ça prend du temps ! Tu peux pas être en mode éveil spirituel et en même temps essayer de comprendre pourquoi ta connexion Wi-Fi fait des siennes.
La trame sociale… C’est celle où t’essayes d’avoir un impact positif dans la société. Genre, t’es là à te dire : « Je vais aider à changer le monde. » Mais soyons honnêtes, c’est difficile d’inspirer un changement quand tu luttes déjà pour inspirer tes collègues à nettoyer la machine à café après usage. Chaque fois que t'essayes de tisser quelque chose pour la société, quelqu'un vient tirer le fil en mode "j'ai pas que ça à faire."
Et puis, y a la trame écologique. C’est celle où tu te sens en communion avec la Terre, où tu fais du compost et t’essayes de réduire ta consommation d’électricité. Mais après trois jours de tri sélectif, t’as juste envie de dire : « C’est bon, j’ai fait ma part, maintenant c’est à la Terre de m’envoyer un peu d’énergie positive ! »
Et enfin, la trame étoilée de l’enfance. Celle-là, c’est la plus mignonne, hein. C’est quand tu te reconnectes à ton enfant intérieur, quand tu retrouves cette joie innocente. Sauf que parfois, ton enfant intérieur, il a juste envie de crier et de courir partout, comme un gosse qui a mangé trop de sucre. Et là, t’es assis à une réunion de travail sérieuse, et ton enfant intérieur te chuchote : « Allez, fais un château en Lego, c’est plus fun que ces rapports Excel ! »
Alors, voilà le défi : tisser harmonieusement sur neuf trames en même temps. C’est comme jongler avec des fils invisibles tout en essayant de ne pas trébucher sur tes propres pieds. Mais hé, au moins, avec tout ce tissage, tu pourras dire que ta vie est un véritable chef-d’œuvre… même si parfois, il y a quelques nœuds par-ci par-là.
Évitez ce mélange
Ah, solitude, pauvreté et jalousie… Le trio qu’on aimerait éviter à tout prix ! C'est un peu comme mélanger de l’essence, des allumettes et une mauvaise connexion Wi-Fi : c’est explosif et t’es sûr de ne pas t’en sortir indemne !
D'abord, la solitude. On pourrait se dire : « Bon, c’est pas si terrible. Je vais juste rester seul avec moi-même, je vais méditer, me recentrer… » Oui, sauf que très vite, t’en as marre de ta propre compagnie. T’as déjà essayé d’avoir une conversation profonde avec toi-même ? Ça tourne vite en rond. Et là, tu te mets à faire des trucs bizarres, genre parler à tes plantes ou nommer tous tes objets de cuisine comme si c'étaient tes meilleurs potes. Tu te surprends à dire : « Allez Maurice, aujourd’hui, tu vas faire chauffer cette eau comme un champion ! »
Et puis, si tu combines la solitude avec la pauvreté, là ça devient carrément le scénario d’un film d’auteur. Tu sais, ces films où le héros passe trois heures à fixer un mur, avec un violon triste en fond sonore. Parce que dans la pauvreté, même Netflix devient un luxe ! Et les sorties avec tes amis ? Haha, c’est fini ça ! T’es en mode : « Non mais, je préfère rester chez moi, c’est bon pour mon développement spirituel… et pour mon compte en banque. » En vrai, tu pleures en regardant ton frigo vide et ton compte bancaire qui fait la grève.
Et enfin, jalousie… Ah, la jalousie ! Ce petit ingrédient qui vient tout ruiner. Quand t’es pauvre ET seul, la jalousie, c’est l’invité surprise qui s’invite à la fête. Tu commences à te comparer à tout le monde : « Mais pourquoi lui, il a une belle voiture et moi je dois pédaler sur mon vieux vélo rouillé ? Pourquoi elle, elle a des photos de vacances à Bali et moi je suis coincé ici à essayer de m’offrir un café filtre ? »
Et là, tu tombes dans un piège horrible : les réseaux sociaux. C’est comme jeter de l’huile sur le feu. T’es là, seul et sans un sou, à scroller sur Instagram, et tu vois des gens qui postent des photos de leur brunch à 15 euros, alors que toi, t’es chez toi à faire griller du pain dur. Tu te mets à regarder ces vies parfaites en te disant : « Sérieusement ? Même leur chien a l’air plus heureux que moi ! » Et c’est là que la jalousie t’attrape. Elle te chuchote à l’oreille : « Tu pourrais avoir ça toi aussi… si seulement t’avais de l’argent… et des amis… et un chien. »
Donc ouais, solitude, pauvreté et jalousie, c’est comme un cocktail explosif. T’as l’ingrédient de base (la solitude), tu ajoutes un peu de saveur amère (la pauvreté), et tu saupoudres le tout avec une dose de jalousie. Résultat ? Une bombe à retardement.
Alors, si vous voulez mon conseil : évitez ce mélange ! Parce qu’à moins que vous ne vouliez finir par donner un nom à votre grille-pain et pleurer sur la vie luxueuse du chat de votre voisin… mieux vaut rester loin de ce combo-là !
Réussir sa vie ne dépend pas que de soi
Ah, réussir sa vie ne dépend pas que de soi... C'est vrai que ça sonne un peu comme une mauvaise blague de l'univers, non ? Genre, tu te dis : « Bon, c'est ma vie, je vais tout donner, j’ai un plan ! » Et là, l’univers te regarde, en mode : « Ha ha, c'est mignon, tu penses que tu as le contrôle ! Attends de voir ce que j'ai prévu ! »
Et puis, y a ce concept des Fils d'Or du Jeu Divin de la Vie, hein. Ces fameux fils qui nous connectent tous. Tu te dis que t'as tissé un truc solide, un peu comme un bon pull en laine qui va te tenir au chaud pour l'hiver. Mais non, au bout d'un moment, tu réalises qu'il y a un fil mal tissé là-bas, à l'autre bout du réseau, et BAM ! Tout se détricote. Parce que Jean-Michel, à l'autre bout du monde, a décidé de ne pas faire ses offrandes correctement. Bravo Jean-Michel, tu viens de ruiner mon karma !
Franchement, des fois, c’est comme si on participait tous à une immense partie de "qui va tirer sur le mauvais fil aujourd’hui ?" Tu fais de ton mieux, tu médites, tu fais tes rituels du Jeu Divin, et soudain... ta grand-mère te demande si t'as enfin trouvé un "vrai travail". Ah merci Mamie, c'est justement ce fil de jugement que j'avais besoin de voir dans mon tissage sacré ! Ça ajoute tellement de profondeur.
Et parlons un peu des « autres ». Parce qu’on nous dit toujours : « Oui, mais tout est connecté, tout le monde influence tout le monde ! » Ah oui, super ! Donc en plus de gérer mes propres Fils d'Or, je dois aussi surveiller ceux de mon voisin ? C’est un peu comme être dans un grand jardin partagé : t'as beau planter des fleurs magnifiques, si ton voisin décide de cultiver du cactus, t'es mal. Et là, t'es en train de tisser tes relations, tout beau tout propre, et voilà que ce cactus vient te piquer. Merci Roger, ton cactus, il est vraiment bien aligné avec l'univers !
Et puis attends, on parle de réussir sa vie comme si c'était un truc qu’on pouvait contrôler entièrement. Mais dans le Tissage des Fils d'Or, tu découvres vite que la moitié des fils sont tirés par des gens que tu n'as jamais rencontrés. Genre, t'as un inconnu qui décide de t’inviter à une réunion d’affaires qui semble prometteuse, mais qui finit par être une présentation PowerPoint de deux heures sur les bienfaits des choux de Bruxelles. Alors là, tu te dis : « C’est bon, j'abandonne, l’univers m’a eu ! »
Mais au fond, c’est ça qui est beau dans ce tissage divin. Ça ne dépend pas que de toi, et heureusement, parce que si c'était que moi aux commandes, ce serait un sacré bazar. Parfois, on doit accepter que notre succès, c’est un patchwork collectif. On se retrouve tous dans ce grand jeu cosmique, à essayer de tisser des liens avec les autres, en espérant que personne ne tire trop fort sur un fil.
En conclusion : réussir sa vie, ce n’est pas juste une affaire de soi, c’est une collaboration entre toi, l’univers, et un paquet d’autres tisseurs qui ne savent pas toujours ce qu’ils font... mais hé, au moins, on a des histoires marrantes à raconter en chemin, non ?
Relations mal tissées
Ah, les relations mal tissées… On est tous passés par là, non ? C’est un peu comme ce pull en laine que ta grand-mère t'a tricoté avec amour. Un fil mal placé, et pouf, tout le pull se détricote et tu te retrouves en pleine rue, en plein hiver, en sous-vêtements devant un bus de touristes. Voilà, c'est ça une relation mal tissée !
Tu sais, au début, tout est parfait. C’est comme si chaque fil était bien aligné : toi, ton partenaire, et l’illusion de la perfection. Vous êtes synchronisés. Mais avec le temps, tu te rends compte qu’il y a des nœuds ici et là. Et ce n’est pas le genre de nœuds qu’on fait exprès pour le fun, hein… C’est plus du genre : « Hé, tu m’avais pas dit que tu ronflais comme un tracteur pendant la nuit ? »
Les relations, c’est comme un tissage. Sauf que parfois, on tisse trop vite, ou on utilise du fil de mauvaise qualité. Genre, tu prends le fil de la jalousie, et là c’est la catastrophe. T’as déjà essayé de défaire un nœud de jalousie ? C’est comme essayer de démêler des écouteurs après les avoir mis dans ta poche. T’y passes des heures, et à la fin, t’es tellement frustré que tu veux tout jeter.
Mais attends, le pire, c’est quand tu découvres que ton tissage est en fait un patchwork ! Toi, tu t'attends à quelque chose de solide, mais tu te retrouves avec des morceaux de tissu mal assortis. Genre, toi, t’es là avec ton fil de communication, mais lui, il utilise du fil de silence radio. Ou alors, toi, tu tisses avec amour et lui… il utilise du fil de matchs de foot à la télé. À la fin, c'est un tapis troué qui ne protège ni du froid ni des engueulades.
Et je parle même pas des "amis conseillers" qui te disent toujours : « Faut que tu travailles sur votre relation. » Ah oui ? C’est ça, la solution ? Je dois me transformer en tisserand professionnel ? Genre : « Allez, on prend du fil de tolérance, on tricote un peu de patience, et avec un peu de chance, ça fera un tapis de bonheur. » Sauf que ça, ça marche pas toujours ! Parfois, le tapis, il est juste trop usé, et t’as beau rajouter des fils, il te glisse sous les pieds dès que t’essaies de marcher dessus.
Mais bon, malgré tout, on continue à tisser, non ? Parce qu'au fond, on sait qu'un jour, on finira par obtenir ce qu'on cherche. Une relation où tous les fils s'alignent, où tout est solide, et où t’as pas besoin d’un patch de « Je te promets que ça va s’arranger ».
Et si ça ne marche pas ? Eh bien, au moins, tu sais que t’auras assez de fil pour tricoter une nouvelle écharpe… célibataire !